
Ce qu'on respire sur Tatouine
Grande fan de Star Wars moi-même (mais juste des trois originaux), la première fois que j’ai aperçu le titre de ce roman, je me suis dit que je devais le lire. Je n’ai pas été déçue. Dans un texte continu, c’est-à-dire sans chapitres, Jean-Christophe Réhel nous plonge dans le quotidien de son alter ego, qui publie des recueils de poésie et a la fibrose kystique. C’est un gars qui a le sentiment qu’il ne vaut rien, qu’il n’est rien (sûrement parce qu’il se regarde avec les yeu